• Chapitre 7

    Chapitre 7 :

    Maxi : Eh bien, le genre que je ramène une jolie fille de ma classe et qu’on fasse une très jolie chanson ensemble…

    (Maxi est trop gentil ! Houlà, il faut que je me calme, je deviens aussi rouge qu’une pivoine…)

    Nata : Du coup, je vais faire comment pour partir d’ici, comme ton père ne doit pas me voir ?

    Maxi : Euh… (Il lança un regard à la fenêtre)

    Nata : Nan, tu rigole là ?

    Maxi : Désolé Nata…Au pire, je sort et je te passe l’échelle du jardin.

    Nata : Ca serait quand même plus sympa que de sauter de ta fenêtre !

    Il se rendit à la porte d’entrée. Il sortit dans le jardin, j’entendis un gros bruit. Puis je vis Maxi avec la fameuse échelle. Il la posa contre le mur.

    Maxi : Tu peux y aller, c’est bon.

    Je commence à descendre doucement. Quand je m’appuyais sur le cinquième barreau, il se brisa et je glissai. Je tombais en poussant un petit cri aigu. Je fermai les yeux juste deux secondes. Quand je les ouvris, je me trouvais dans les bras de Maxi ! Il m’avait rattrapé pendant ma chute ! Je rougis et lui souffla à l’oreille :

    Nata : Merci…

    Maxi : Il n’y a pas de quoi…

    Nata : Bon vite, je dois y aller, mon père m’attends.

    Maxi : Bon, eh bien. Bon appétit, alors et à demain.

    Je me dirigeais vers ma porte d’entrée. J’ouvrit et refermais la porte quand je sursauta : mon père était juste derrière.

    Père : Nata, j’ai à te parler. Je t’avais dis d’y rester 1 heure, et tu es resté 1 heure et demie !

    Nata : Mais papa, on avait beaucoup de travail et…

    Père : Et tu aurais dû surveiller l’heure ! Nata, une promesse est une promesse, je suis donc obligé de te punir ! Tu seras donc privée de sortie ces deux prochains jours.

    Nata : Mais je…

    Père : Monte dans ta chambre !

    Je montait les marches de l’escalier quatre à quatre et me précipita dans ma chambre. Je claqua ma porte et m’effondra sur mon lit, j’étais en colère après mon père.

    Nata : Quel casseur d’ambiance celui-là ! Tout allait bien jusqu’à ce qu’il me punisse !

    ??? : Tu passe tes nerfs sur cet oreiller, qu’est ce qu’il t'as fait ?